Selon une source œuvrant dans les droits de l’Homme, les Marocains du Nord, ayant l’habitude d’accéder quotidiennement à la ville, “ont été fortement surpris par la mesure du gouvernement local de Sebta, sans que celui-ci ne prenne la peine d’en expliquer le motif”. La date de la réouverture du poste-frontière de Bab Sebta, permettant aux Marocains précités d’accéder de nouveau à la ville occupée, n’a pas non plus été annoncée.