Vivas demande une « frontière efficace et adéquate » pour contrôler les personnes entrant à Ceuta ». Le président de la ville autonome estime que cela passe par la suppression de l’obligation de visa Schengen. Une mesure qui selon lui, peut se révéler très « efficace » pour atteindre l’objectif final de sécurisation des frontières et de contrôle des flux migratoires.

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De son côté, le gouvernement espagnol penche plutôt pour un respect du traité de bon voisinage avec le Maroc. Un avis que ne partageait pas Vivas. « C’est impossible, ce serait l’arbre qui cache la forêt », déclarait-il lors d’une séance plénière il y a deux ans. Aujourd’hui, le président de Ceuta insiste sur la nécessité d’avoir un point de vue unanime avec Madrid et Melilla sur cette question.