En tout, 360 mineurs sont encore pris en charge par l’administration de Ceuta, a indiqué lundi dernier le président de Ceuta, Juan Jesús Vivas, dénonçant l’attitude du Maroc « qui n’a montré sa volonté de collaborer activement qu’en août », après la suspension de l’opération de rapatriement des mineurs
jugée « illégale » par la justice espagnole, et par laquelle 55 mineurs ont été rapatriés au Maroc.